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 « COWDEN; Hareton, Presle

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Presle H. Cowden


Presle H. Cowden

Nombre de messages : 112Date d'inscription : 18/01/2009
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« COWDEN;  Hareton, Presle Vide
MessageSujet: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 19:58

    PRESLE HARETON COWDEN

      « COWDEN;  Hareton, Presle R88rgj

    Give me love. Thrill me. Surprise me. Dazzle me. Delight me. Tease me. Please me. Give me days I'll always remember and night that I'll never forget. Give me everything I want and nothing I need. Give me you, freedom.

      « Certains sont prêts à mettre leurs deux mains au feu; notre histoire, toute notre vie est écrite à l’avance. Je trouve cela désespérant, et si dégradant pour notre condition d’homme. Mon enfance, mon adolescence ; toute mon histoire n’est qu’un enchainement de décisions, de faits qui ont influé sur la personne que je suis aujourd’hui. Certaines de ces décisions ont été prises par d’autres personnes, à ma place. Mes parents, les professeurs, la société dans laquelle j’ai plongé en m’installant à New-York. Je ne les blâme pas, cependant. Comment le pourrais-je ? Personne n’a écrit mon histoire, si ce n’est moi. Et j’espère être capable de la rédiger encore, plusieurs années durant. Tomber, me relever. Faire des erreurs. Oh oui, surtout. Faire des erreurs ! »

    ••• « L‘imagination gouverne le monde. » Napoléon ▬

    Bonjour. Je suis John Amilton. Si vous le voulez bien, nous allons commencer. Présentez vous s’il vous plait.
    Bonjour, John. Je suis Presle Hareton Cowden. Je ne pourrais dire l’effet que mon nom a sur vous, s’il résonne à vos oreilles, ou s’il vous est agréablement familier. Je ne saurais, purement, que vous confier toute la haine qu’il m’inspire. Cowden. Précieuses désillusions. Il a l’écho d’un cri, la texture du marbre. Le nom de ma mère était plus doux, plus sucré ; mes lèvres se délectaient à le prononcer. Cowden. Vains espoirs. Une voie m’avait été toute tracée. Je m’en suis, pourtant, entièrement détourné. Je jure m’écarter du chemin qui m’a été réservé, je jure m’éloigner de ce nom aux résonnances si dures, aux échos si déchirants, aux révélations si affligeantes. Si je porte un regard très peu amène sur le nom qui m’a été attribué le jour de ma naissance, ma tendresse est entièrement consacrée aux prénoms que ma mère m’a subtilement choisis. Presle. J’ai la fine certitude que l’un de mes ascendants l’eût porté avant moi ; ce qui m’apporta tout le réconfort dont j’eus besoin durant les premières années de ma vie sans elle. Aujourd’hui, je ne songe qu’à la voix de Susan Winslet, traversant les époques, le prononçant avec une attention toute définie, mais un attachement sans condition aucune. De quoi m’emplir de fierté. Mon second prénom est Hareton. Je tiens particulièrement à cette appellation ; certainement aussi rare que Presle. Le fils Earnshaw, défiant la malédiction qui s’était abattue sur sa famille, parvint à mener la vie qu’il eût toujours méritée, aux côtés de sa cousine bien aimée. Ce prénom m’a toujours rempli d’espoir. Le fol espoir de voir, un jour, ma vie s’illuminer aussi brillamment que celle de ce héro. Je suis né le douze février, de l’année mille-neuf-cent-quatre-vingt-dix-neuf, en plein cœur de Londres, en Angleterre. J'étais donc âgé de dix-neuf ans - bien que mes vingt ans approchaient à grand pas - lorsque le régime de X fut installé. Mes deux parents étaient européens ; ma mère avait, pourtant, des origines américaines qu’elle rêvait de découvrir. Peut-être fut-ce la raison précipitée de mon départ ; je ne saurais le dire. A dix-huit ans, j'ai quitté mon pays natal pour le nouveau monde. J'ai terriblement déçu mon père, qui n'aspirait qu'à me voir reprendre les affaires familiales. Jeune homme obstiné, j'ai tout abandonné; études y compris. Je suis alors entré dans l'Elite, y voyant une occasion de renoncer à tout ce que j'avais été rattaché jusque-là. Ce fut une époque très sombre, pour moi. Je me cherchais, je tentais d'atteindre un absolu que je ne percevais même pas. J'ai poursuivi ma quête très longtemps, et j'ai finalement saisi toutes les subtilités de ma personnalité qu'après de nombreuses erreurs. Physiquement, j'ai quitté l'adolescence plus tôt que la norme. Ma carrure imposante et mes traits anguleux m'ont permis de me faire respecter par mes pairs, sans qu'une moindre menace n'ait à s'échapper de mes lèvres.

    Enchanté, Presle. Si vous le voulez bien, j’aimerai retracer votre passé jusque la mise en place de la dictature, et plus précisément ce mois de janvier 2009, qui marqua un tournant dans cette dictature.
    Mon histoire n’est qu’un amas d’anecdotes. Certaines plus embarrassantes que d’autres à narrer ; certaines plus malheureuses que d’autres à écouter. Êtes-vous de ceux qui prétendent qu’on ne juge un homme par son passé ? Et bien, répondez simplement à ma question... Par quoi le jugez-vous, dans ce cas ? Son apparence, son caractère, son ambition, ses intérêts. N’est-ce pas son passé qui a influé sur tout cela ? Je garde mes positions ; il n’y a meilleur moyen de connaître un homme que d’écouter le fidèle récit de sa vie.


Dernière édition par Presle H. Cowden le Sam 14 Fév - 17:22, édité 21 fois
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Presle H. Cowden

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 19:59

    « COWDEN;  Hareton, Presle 2dryjb9 CHAPITRE « 1 DREAM MAKER.
    « J’étais un garçon taciturne, je n’aimais me mêler à mes camarades de classe, ni m’amuser à courir après les filles dans la cour de récréation. Quelle absurdité ! J’avais mieux à faire. J’avais hérité de l’esprit fermé de mon père. Pour mon plus grand plaisir, j’avais également hérité du caractère passionné de ma mère. J’aimais les livres, les vieux poèmes qui m’effrayaient en secret. J’emportais ces ouvrages antiques partout, alors qu’elle m’avait fait promettre d’en prendre grand soin. Je ne les abîmai jamais, cependant. Ils étaient trop importants pour moi. A sept ans, ma mère m’ouvrit soudainement les yeux. La littérature était si loin d’être mon occupation préférée. D’aussi loin que je puisse m’en souvenir, je ne me lassais jamais de voir ses mains danser, virevolter sur les touches noires et blanches. Elle était là, les yeux fermés, docilement assise sur le tabouret, et elle jouait durant de longues minutes, de ce fabuleux instrument. Lorsqu’elle cessait, le souvenir des mélodies m’exhortait avec une telle puissance que je m’en sentais vide, et infiniment petit. Mon premier cours de piano est le souvenir le plus heureux, et le plus limpide que je possède. »

    Nombres de mes jouets d’enfant trainaient sur le parquet mielleux, des partitions dérobées à ma mère reposaient sur le secrétaire, vainement dissimulées par des cahiers aux couvertures tâchées d’encre. La chambre était plongée dans le noir. Apaisante et délassante. Silencieuse. Ma respiration modérée, profonde s’élevait sereinement dans les airs. Elle seule était preuve qu’une quelconque âme sommeillait dans cette pièce. Quelques gouttes d’eau vinrent s’écraser contre le toit d’ardoise. Bientôt, elles se firent plus dense, plus insistante, et la mélodie véloce atteignit mes oreilles. Enveloppé dans mes couvertures, je laissai échapper un soupir de mes lèvres entrouvertes, fermai instamment les paupières, et tentai de me raccommoder avec mes songes. Le soleil, l’heure de l’horizon fumant, la forêt rougeoyait, jaunissait et disparaissait dans l’ombre de la nuit. Je plongeai doucement dans le sommeil, ne pus m’y reposer longuement, cependant. Un pas léger, flottant presque, entra dans ma chambre. Je me retournai lentement, tentai d’ouvrir mes paupières, alourdies par la quiétude divine de mes chimères.

      SUSAN ; « Presle ? Ouvre les yeux mon chéri. Voilà, bien... Doucement. »

    Je sentis son poids affaisser le matelas spongieux. J’étais, néanmoins, résolu à ne pas abandonner mon monde paisible pour la journée froide et insignifiante qui pointait déjà. J’étouffai un bâillement, sentis sa main effleurer mon front d’une caresse délicate, et me frottai les yeux. Ma mère insista doucement, ses lèvres délicieusement teintées d’un sourire malicieux. Je ne l’avais jamais aperçue dans pareil état ; son obstination piqua ma curiosité. Je me redressai promptement, non sans affliger un vertige à ma tête encore brumeuse. Ce retournement de situation lui tira un rire distrait, semblable aux doux sons d’un carillon dans le vent.

      PRESLE ; « Quelle heure, au juste ? »

    Je remarquai qu’elle essayait d’assombrir ses traits joyeux. J’étais conscient de son aversion pour les assertions, ou les interrogations écourtées. Elle ne manqua pas de me reprendre à propos de la manière dont je m’étais exprimé, me répondit pourtant. Il était sept heure et quart du matin, nous étions samedi, et je n’avais donc une occupation précise pour laquelle j’aurais dû m’éveiller. Je grognai, me laissai retomber dans mes draps chauds, mais elle attrapa ma main et la pressa avec douceur. Je me laissai faire sans broncher. Ses iris scintillaient, plus époustouflantes que les précieuses étoiles que j’observais sans relâche, une fois l’astre de la nuit tombé, et je ne voulais être responsable si le voile de peine que j’y lisais fréquemment revenait quémander la place qui lui était due dans ses yeux.

      SUSAN ; « Et bien, je ne pensais pas devoir défier tant de résistance. Crois-tu que t’enseigner la musique relèvera de la simple volonté d'apprendre, Presle ? Nous avons besoin de temps, ton père est absent. Profitons-en ! »

    J’arquai un sourcil. Venait-elle de dire qu’elle m’apprendrait la musique ?

      PRESLE ; « Tu crois que je peux ? »

    Le sourire que j’obtins, en guise de réponse, me suffit amplement. Je n’avais connu pianiste plus méticuleuse, plus douce et plus talentueuse que ma mère. Elle s’installait là, devant l’instrument royal, ses doigts voletaient sur les touches blanches et noires ; fréquemment, je fermais les yeux, m’imaginais faisant face à la mer, au clair de lune, le vent murmurait ces si belles mélodies au creux de mon oreille. En cet instant précis, j’apercevais mon rêve se concrétiser. Elle désirait m’apprendre. Je me redressai brusquement une nouvelle fois, ignorai mon second vertige, me jetai hors de la pièce en lui faisant signe de me suivre.

      PRESLE ; « Oh, dépêche-toi, m’man ! Il ne faudrait pas perdre de temps... »

    Et, déjà, j'échappai à sa vue, volant à la rencontre du somptueux piano noir. Quelques minutes après ce réveil plus qu’agréable, ma mère et moi étions assis sur le tabouret, devant l’instrument familial, si imposant qu’il m’avait toujours impressionné. Ma mère veillait à ce que je ne m’emporte pas trop, elle souhaitait que je comprenne toutes les bases avant de me lancer dans une nouvelle étape de son apprentissage. Et, pour l’instant, je n’y connaissais absolument rien. Le nom des notes, excepté. Elle m’apprenait à reconnaître le Do sur le clavier, lorsque je m’aperçus d’un détail. Frappant, certes. Qui ne m’avait pas marqué jusqu'à cet instant précis, pourtant.

      PRESLE ; « Papa ne souhaite pas que j’apprenne, pas vrai ? Dis-moi... Est-ce que je l’ai déçu ? Souvent, je ne le comprends pas. J’ai fait quelque chose de mal ? »
      SUSAN ; « Ce n'est rien, mon chéri. Tout s'arrangera. Et tu n'as rien fait de mal. Passons au ré. Sais-tu où il se trouve ? »

    J’appris plus tard, de nombreuses et douloureuses années plus tard, que mon seul tort avait été ma naissance.

    « COWDEN;  Hareton, Presle I6k2s9 CHAPITRE « 2 HOPE CRUSHER.
    « J’étais un adolescent intelligent, ambitieux et vif. J’avais appris à retrouver contenance après chaque coup porté à mon âme. J’avais dix ans, lorsque je compris que la vie n’était réellement pas ce que l’on attendait d’elle, qu’elle ne nous donnait rarement la possibilité d’accéder à ce que l’on désirait véritablement. Un matin, comme toutes les matinées, je me levais et accourais dans la chambre de ma mère - qui n’était plus la même que celle de mon père depuis de nombreux mois. Je fus rattrapé au vol par la cuisinière, Evalyna. J’appréciais cette femme, l’ayant toujours considéré comme la grand-mère que je n’avais jamais connue. Lorsque j’étais privé de dessert par un père trop obsédé par la « mauvaise éducation » que me donnait ma mère, elle m’apportait toujours une assiette en cachette, et la glissai sur ma table de chevet. Ce matin-là, je remarquai ses cernes, ses traits tirés et fatigués. Je n’en compris les raisons que quelques heures plus tard. Ma mère nous avait quittés cette nuit. Oh, elle n’avait pas succombé à une maladie ou à un accident. Non. Elle était simplement partie. Elle s’était envolée, pour ne jamais revenir. Ce fut la première épreuve à laquelle je réagis étrangement. Je ne pleurai pas, je n’hurlai pas, je n’implorai pas. Je demeurais totalement stoïque, comme si ma mère n’avait jamais fait partie de ma vie. Je grandis rapidement, me consacrai à mes cours et à mes passions. J’avais treize ans, lorsque je provoquai mon père pour la première fois. Je savais, depuis des années, qu’il était seul responsable du départ de son épouse. J’ai commencé à le vouvoyer. J’en éprouvais un réel besoin, mettre une distance entre nos deux âmes si différentes. Aujourd’hui encore, cela m’est essentiel. Malheureusement, depuis que j’ai douze ans, je m’obstine à mettre une distance entre le monde entier et Presle. A dix-sept ans, je quittai Londres, je quittai les Cowden pour n’en garder que le nom.»

    Je soupirai d’aise, refermant la porte de la chambre derrière moi. Etrangement, je me sentais bien dans cette pièce, alors que je m’y trouvais lorsque j’appris que ma mère m’avait abandonné, m’avait laissé seul avec mon bourreau. Dès que j’y mettais le pied, sa présence m’enveloppait, m’envahissait, cependant. Je me sentais retomber des années en arrière. Cette nuit-là, comme beaucoup d’autres, j’avais du mal à trouver le sommeil. J’avais donc décidé de me rendre dans sa chambre. Rien n’avait changé, surmontant les années et les colères de mon père. Je m’avançai prudemment, posai mon regard sur le moindre élément que je croisais. Mon regard fut attiré par une commode que je décidai brusquement de fouiller. Je m’y étais attardé des centaines de fois, mais elle semblait m’appeler. Mes doigts pianotèrent doucement sur le bois, et j’ouvris le premier tiroir. Rien. Un élément m'interpela, cependant. Comme un second fond, masqué par une lamelle de bois. Je la retirai. « Presle Hareton. Pardonne-moi. » ; « Presle Hareton. Pour tes treize ans » ; « Pour tes quinze ans. » ; « Pour tes seize ans. » ; ... J’attrapai la liasse de lettres, parcourus rapidement les enveloppes. Il y en avait une vingtaine ; toute adressée à mon nom. J’haussai un sourcil, reconnus l’écriture de ma mère. La pièce devint froide et distante, perdit de son réconfort. J’avais dix-sept ans depuis plusieurs mois, pourquoi n’avais-je jamais lu ces lettres ? Je l’attrapai avec une rage non dissimulée et, en quelques secondes, je me retrouvai hors d’haleine dans le bureau de mon très cher père.

      PRESLE ; « Qu’est-ce que c’est que ça ? »

    Double provocation. Je n’avais pas frappé, et j’avais élevé le ton de la voix. J’osais une troisième bravade en soutenant son regard. Ses yeux trop clairs, dénués de toute expression, me sondaient avec un mépris auquel j’étais coutumier.

      ADAM ; « Tu ne dors pas, Presle ? Tu devrais. »

    Son regard s’attarda désespérément sur les enveloppes en papier que je tenais fermement entre mes doigts. Je le priai de ne pas jouer avec moi, et il haussa les épaules.

      ADAM ; « J’ai pensé que ce serait inutile. Elle est partie, elle t’a abandonné. Mérite-t-elle vraiment ton pardon ? »
      PRESLE ; « Mon pardon ? Je ne peux lui être plus reconnaissant de nous avoir quittés. Cette vie était en train de la tuer. »
      ADAM ; « C’est très honorable, de ta part, Presle. Maintenant, donne-moi cela. En ce qui me concerne, cette femme est morte. »
      PRESLE ; « Cette femme ? »

    Je m’emportai. Je lâchai les enveloppes, mes poings s’écrasèrent brusquement sur son bureau. Il ne put réfréner le sursaut de surprise. Il se redressa vivement, et nous nous défiâmes du regard durant de longues secondes.

      PRESLE ; « Elle était votre épouse, et elle est ma mère ! »
      ADAM ; « Mon épouse ? Ha, ne te méprends pas, Presle. Elle n’était qu’une petite écervelée, assoiffée de glo... »

    Mon cœur manqua un battement, je devinai les injures qu’il s’apprêtait à prononcer, et je fus plus rapide que lui. Je détournai rapidement son bureau, l’attrapai par le col de sa chemise et le plaquai contre le mur. Douché, il ne réagit pas immédiatement. Pourtant, ses yeux ne cessaient de défier les miens.

      ADAM ; « Comment oses-tu ? »

    Il ne se débattait pas, pourtant. Ses yeux semblaient exorbités, comme s’ils étaient prêts à bondir. Ils me fixaient avec une telle intensité, une telle fureur ; je fus soulagé qu’ils n’aient pas la capacité de me tuer, car il l’aurait fait sans doute aucun, sans le moindre regret. J’avais fréquemment l’envie d’utiliser la violence contre mon géniteur, mais il ne m’avait jamais poussé dans mes derniers retranchements. Pas comme il l’avait fait aujourd’hui. Elle avait été la personne la plus influente, la plus importante de ma vie, elle me connaissait comme si elle avait lu en moi des centaines de fois. De quel droit se permettait-il de bafouer sa mémoire, de me cacher les dernières paroles qu’elle avait voulu m’adresser ? Je rivai mes yeux sur lui, mes doigts s’écartèrent, et je lâchai prise. Je l’avais impressionné, et je le savais. J’avais aperçu ce voile de doute passé devant ses yeux ; il baissait sa garde, tandis que la mienne était toujours là, présente, si oppressante que j’eus soudain l’envie d’hurler. Je me ravisai, car il récupéra sa contenance. Lorsqu’il retrouva sa confiance, la tête haute, j’eus un haut le cœur, qui me força à faire un pas en arrière. Ses traits étaient défigurés par les sentiments les plus détestables : haine, dégoût et déception. Je les connaissais si bien ; je les éprouvais quotidiennement depuis que j’eus atteint mes dix ans.

      ADAM ; « N’as-tu pas compris, Presle Hareton ? »

    Il prononça mon nom du bout des lèvres, ce qui ne fut pas sans me rappeler la façon dont je formulais le mot père.

      ADAM ; « Tu en es la preuve vivante. Tu es la preuve de ma déchéance, de tout ce que j’ai pu échouer. Tu n’aurais dû naître. »

    Des années durant, il ne s’était lassé de m’avouer qu’il regrettait ma naissance. Ce soir-là, j’en compris toutes les raisons. Il me tenait pour responsable. J’avais entaché le digne nom, le digne statut des Cowden, puisque je n’étais pas le fils d’une femme issue de la même classe que lui, qui n’avait comme seule ambition le bonheur de son enfant. Il me tenait pour responsable de ses erreurs. Ce soir-là, j’empaquetai mes affaires, emportai l’argent que j’avais économisé, mes lettres - que je n’ai jamais lues - et je partis.


Dernière édition par Presle H. Cowden le Sam 24 Jan - 16:59, édité 31 fois
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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 19:59

    « COWDEN;  Hareton, Presle 30b31g3 CHAPITRE « 3 DREAM BREAKER.
    « J’étais un homme autonome et indépendant. Bien que très jeune à mon arrivée à New-York, j’ai prouvé que j’avais la faculté de m’occuper de moi, comme personne n’avait été capable de le faire auparavant. J’ai aligné les petits emplois, souvent deux à la fois. Il m’arrivait fréquemment, la nuit, de me faire payer pour jouer dans l’un ou l’autre des bars de Manhattan. C’était un plaisir plus qu’une corvée, puisque la musique est l’une de mes plus grandes passions, héritée de ma mère. Et puis, cela me permit d’amasser une certaine somme, et de me louer une simple chambre. Le régime imposé par X s’installa peu de temps après que je sois parvenu à me louer mon premier studio. Situé en plein centre de Hell’s Kitchen, j’eus fréquemment le plaisir d’être accueilli par un drogué ou deux, installés nonchalamment sur mon perron. J’aimais beaucoup cette vie que je menais. Je me sentais libre, affranchi de mes attaches. Pourtant, j’avais la terrible sensation d’échouer. En me voyant faire mes valises, mon père m’avait prévenu. Il avait affirmé que je deviendrais un raté, que je ne saurais m’en sortir seul, et que je ne tarderais pas à revenir vers lui en pleurant. Ces paroles m’étaient insupportables, d’autant plus que j’avais la sensation qu’il avait vu juste, et que je ne pourrais m’en sortir convenablement sans lui. Je pris la décision de m’enrôler dans l’Elite, y percevant la chance que je n’avais eue jusque-là. Jeune, cultivé et vif ; je fus très rapidement accepté aux côtés des hommes de mains de X, avant d’accéder à une ascension fulgurante et de rejoindre les meilleurs. Ce n’était pas la justice qui me poussait, ni même le fait que les idées de notre dirigeant me touchaient. J’étais purement et simplement dirigé par mon être, cette affreuse nécessité de prouver que j’étais là, et que je comptais. Pensant que j’agissais pour ma liberté, je ne saisissais pas que, plus je m’enfonçais dans les rangs, et plus la liberté même m’échappait. »

    Bien. Maintenant que je vous connais mieux, j’aimerai connaître votre position à cette époque quant au régime. Avait-t-elle évoluée depuis la création du régime ?
    Rien n'est trop difficile pour la jeunesse, disait Socrate. Rien n'est assez aisé pour la jeunesse, me permettrais-je de corriger. Surtout en ces temps. Nous sommes tous passés par des zones d’ombres, nous avons tous vécu une période de notre histoire que nous aimerions secrètement cacher, et même intégralement oublier. A l’époque, j’étais pour le régime ; sans être réellement conscient de ce que cela pouvait bien signifier. Après avoir quitté mon pays natal, je n’avais qu’une idée en tête, celle de mener ma propre vie, de la gérer entièrement et d’en avoir pleinement contrôle. J’étais terriblement jeune, lorsque la dictature a été instaurée. Jeune et malléable. Pourtant, cette étrange sensation de fierté me tenaillait de l’intérieur, et je ne pensais qu’à faire quelque chose de cette vie que je retrouvais. J’ai rejoint les rangs de X quelques mois après mon arrivée aux Etats-Unis. Pour la première fois, je le ressentais. L’appartenance à un monde, l’effectance. J’en devins rapidement assoiffé, et peu m’importait si mon bien causait le mal autour de moi. J’arrêtais, je violentais s’il était nécessaire. J’appartenais, cependant, et rien ne comptait excepté cette garantie.


Dernière édition par Presle H. Cowden le Sam 14 Fév - 17:21, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 20:31

    Pouvez-vous vous décrire physiquement afin que nos lecteurs puissent mieux vous imaginer ?
    « Presle Hareton ? Si intriguant qu’il ne passe jamais inaperçu, malgré ses nombreux efforts. Ce garçon, allez donc savoir pourquoi, met un point d’honneur à se tenir en retrait du monde, comme s’il ne voyait aucun intérêt à nouer des liens. Ce n’est pas comme s’il se sentait supérieur à nous - en tout cas, ce n’est pas ce dont il a l’air - mais plutôt comme s’il était dans l’incapacité de le faire. Comment il est physiquement ? Hum. Question des plus intéressantes. Et des plus ardues, je ne vous le cache pas. Grand ; je suppose qu’il doit mesurer un mètre quatre-vingt-cinq, ou peut-être un peu moins. Presle est mince, mais ses muscles saillants se sont développés avec les années. On les devine, parfois, sous une chemise ou un tee-shirt, lorsqu’il quitte l’uniforme règlementaire. Ils sont bien la preuve qu’il se dirige doucement vers l’étape adulte et qu’il quitte l’adolescence. Ce qui n’est pas plus mal, vous en conviendrez. Oh, j’ai remarqué un détail que je ne vois pas souvent. Lundi dernier, je l’ai aperçu à la bibliothèque. Seul, comme d’ordinaire. Je l’ai bien observé et je dois avouer m’être attardé sur ses mains. Elles tournaient les pages avec une telle avidité qu’elles m’ont intriguées. Longs doigts pâles et puissants, à vous serrer la main si fermement que vous ne l’oublierez pas. J’en viens à l’élément le plus important : ses yeux. Je n’ai plus aucun doute là-dessus, il les utilise comme une arme - comme une invitation aussi, j’espère. Ce lundi-là, justement, il a probablement senti mon regard sur lui. Le vert émeraude a presque viré au vert des océans tumultueux, il lançait des éclairs. J’entendais presque l’orage gronder sur ma tête. Evidemment, j’ai détourné les miens, de peur qu’il ne me foudroie. Fait-il toujours cette impression ? J’ose espérer que non. Pour lui, du moins. Déjà pas très accompagné, il risque de se retrouver plus seul encore. Régnant en maître, ses cheveux blonds aux teintes cuivrés, presque rousses. L'une de ses manies est d'y passer la main. Surtout pendant les cours. Si je devais faire une comparaison, ce serait inévitablement avec la crinière d’un lion. Bien qu’une crinière légèrement frisotée. Je retrouve la même teinte dans ses sourcils broussailleux, mais qui lui donnent son charme ; comme s’ils veillaient à ce que ses précieux yeux restent en sécurité. Ses traits sont masculins à souhait, un peu pâle c’est vrai, sans entrer dans le grossier. A la bibliothèque, j’ai noté également qu’il avait perdu toute rondeur de l’enfance. Tout est en relief, fin et agréable. Un long nez aquilin, l’un de ceux dont on suivrait bien la courbe du bout de ses doigts. Ses lèvres, un peu plus rosées que celles de la plupart des garçons, n’ont rien à envier aux restes de ses traits. Oh, et son style vestimentaire ! Rien de bien original, je trouve. La plupart du temps, il enfile une chemise, un tee-shirt ou un polo. Bon. Je suis formelle. Physiquement, Presle n’est pas trop vilain. » ; Wendy Komsoon - ancienne camarade de lycée.

    Comment définiriez-vous votre caractère ? A-t-il évolué à cause de ce régime ? « Tel il est encore, si apathique qu'il paraisse, dans l'exécution de toute entreprise noble ou hardie. Cette rudesse est l'assaisonnement de son bel esprit ; elle met les gens en goût et leur fait digérer ses paroles de meilleur appétit. »
    Je ne saurais expliquer les raisons qui me poussent à penser que Shakespeare eût lu en ma personne, et m'ait décrit avec cette exactitude toute particulière. Dès que je lis ces vers, cependant, j’ai la nette et désagréable impression de me retrouver devant un miroir. Enfant déjà, on me décrivait comme étant charismatique, un beau parleur pourvu de très peu de scrupule. Je n’ai jamais été un menteur, cependant. J’aime jouer avec les apparences, faire miroiter les faux-semblants ; j’en use avec une facilité déconcertante, et je me sais particulièrement doué à ce jeu-là. Mieux encore, je m’en suis toujours amusé. Ne vous emballez pas ainsi, je ne suis pas le genre d’hommes à écraser les plus faibles. J’aime à penser que j’en suis tout l’extrême opposé. Néanmoins, mes proches m’ont toujours reproché cette terrible capacité à demeurer passif face aux désarrois d’autrui. Il ne s’agit que d’un jeu, ceci étant dit. J’ai fréquemment souffert de ma tendance à ne rien révéler, à laisser mon âme hurler et mon être bouillonner sans broncher. Cela va certainement sonner faux, sortant de mes lèvres, mais j’aime la justice, l’ordre et, si je ne réagis pas toujours, ce n’est que par pure incapacité. Je n’en connais les raisons exactes. J’ai toujours été taciturne et méfiant ; j’abhorre que l’on entre dans ma vie en imaginant que je consentirais à offrir une petite place confortable, à mes côtés. Je n’attends rien de personne, comme personne ne devrait attendre la moindre petite action de ma part. Je vous le concède. Je dois vous paraître bien égoïste. Et bien, telle est ma vision du monde. Je suis un solitaire, ce que l’on considère comme un écorché vif ; à tort, très probablement. La vie m’a appris plusieurs éléments, que j’ai tâché de ne jamais oublier et de toujours garder en mémoire. La première ; l’attachement est mauvais pour le cœur humain. Affection rime avec séparation, ainsi qu’avec disparition, et personne ne sort entier de ces horribles épreuves. La seconde ; certains coups portés à l’âme transformeraient le plus sauvage des animaux, le rendant amer et plus puissant encore. C’est ce que je suis. Un félin, un prédateur malin, d’apparence calme, mais grondant dans l’obscurité. Quelques-uns m’ont décris comme blasé, d’autres comme un perpétuel lassé ; un romantique en quête d’un infini. Je ne sais ce que je choisirais, ni ce que je préfèrerais. Pourquoi ne pas me décrire comme je suis exactement ? Un être en ébullition, menaçant d’exploser - littéralement - sous le poids de ses émotions qu'ils ne décryptent pas, de ses craintes irrationnelles.

    Et quelles étaient les personnes avec qui vous aviez des liens particuliers durant cette période ?

      « COWDEN;  Hareton, Presle B07ot61401« PATIENCE E. DELANEY.
      _ Troublante haine.
    « Je n'ai plus de doutes; il existe bel et bien une personne, une jeune femme, capable de faire surgir les pires traits de ma personnalité si dénaturée. Ma mâchoire se contracte, mes poings se referment, ma gorge se serre à sa seule vue, sous le poids des paradoxes brutaux qu'elle réveille au plus profond de ma personne. Je ne peux supporter ses yeux, ni le moindre de ses traits. Une haine inexplicaque, mais si intense qu'elle ne peut être ignorée.

      « COWDEN;  Hareton, Presle 0867« AUTUMN D'ORSAY.
      _ Dangereux magnétisme.
    « Elément fort de l'Elite, il m'arrive de la croiser lors de nos quelques descentes en commun. Je ne m'en approche jamais, néanmoins. Je me contente de l'observer, de loin; un regard à la dérobée. Je n'en connais les raisons, mais je doute fréquemment de ses réelles implications dans le système. Comment une jeune femme comme elle a attéri parmis nous ? Je ne ferais jamais part de mes doutes, car je pourrais la mettre en péril et que, très étrangement, jamais une pensée ne m'a été plus insupportable.

      « COWDEN;  Hareton, Presle Rachelb04copy« TIFFANY O. STANDFORD.
      _ Double jeu.
    « Une manifestation, une descente. Tout était terriblement agité et, pendant que j'arrêtais l'un des révolutionnaires, j'ai vu sa sillouhette s'enfuir, jusqu'à disparaître totalement de ma vue. Je n'ai pas cessé de la traquer, cependant. J'ai appris qu'elle travaillait à l'hôpital, et j'en ai profité pour me faire passer pour un jeune en difficulté. Je sais beaucoup de choses de la vie de Tiffany. La seule chose que j'ignore purement et simplement est la réaction qu'elle aura lorsqu'elle apprendra ma réelle identité.

      « COWDEN;  Hareton, Presle T60« DECEMBER E. SWAN.
      _ Mystérieuse estime.
    « Je n'ai vécu rencontre plus douloureuse. J'ai failli à ma tâche, en la laissant s'échapper de la sorte. Si l'on venait à apprendre ma trahison, je serais sans doute aucun, enfermé, torturé. Je n'aurais droit au repos de la mort. Serait-ce son fils, la cause de mon accès de faiblesse ? Aurais-je aperçu son destin terrible dans ses yeux ? Si j'arrêtais la mère, je le poussais, non plus à vivre, mais à survivre sans elle; tout comme j'ai été forcé, trop tôt, à le faire.

    Avez-vous d’autres précisions à apporter ?
    J’étais robuste, à l’époque. Je n’avais aucun problème de santé, j’étais jeune et vigoureux. J’étais marqué par les quelques bagarres auxquelles je participais fréquemment, néanmoins. Mon entrée dans l’Elite m’a valu quelques cicatrices qui ont, pour la plupart, disparues avec le temps. J’en garde les plus importantes, ceci étant dit. Là, sur mon avant-bras droit. Une courbe sinueuse, telle un serpent, marquera à jamais ma peau pâle. Un révolutionnaire agile et rapide, qui avait tenté de m’échapper ; je n’ai eu le temps d’apercevoir la lame qui a vivement entaillé mon bras, et qui y a laissé l’empreinte, comme une preuve de ce que l’on a tous vécu.

    ••• Et maintenant, retournons à la réalité. ▬

    Vous n'allez pas le croire; enfin, surtout Chloé et Margot. Je ne révèle pas mon prénom tout de suite. Tout d'abord, la seconde de ces demoiselles étaient censée me communiquer l'adresse du forum. Je suis, pourtant, parvenu à me la procurer par moi-même. D'accord, j'ai été aidé par une amie qui me l'a envoyé car elle s'y intéresse X'D Vu que Margot avait exprimé son souhait de me voir parmis vous et que je ne peux rien lui refuser... Me voilà ! Je pense avoir été démasqué. Oui, je suis bien Chris. J'ai donc vingt ans; je suis un vieux pépère. Je viendrais régulièrement, mais avec les études, c'est assez difficile de poster en semaine. Puis bon, je suis Suisse, donc je suis lent !


Dernière édition par Presle H. Cowden le Sam 24 Jan - 19:12, édité 2 fois
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Matthew Owens

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 20:33

XDD. il faut demande ça à sa créatrice strawberry
en tout cas j'espère que tu ne seras pas découragé (:
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https://poisoned-fruit.forumactif.org
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Presle H. Cowden

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 21:53

    Je n'y manquerais pas X'D
    J'aime les défis, habituellement...

    J'ai une petite question. Ca commence bien XD
    Pour faire partie de l'élite, il faut un âge mininum, une condition minimum; ou tout le monde peut y entrer ? =)
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Patience E. Delaney

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 22:29

Hum; Chris x3
Ca me touche vraiment de te voir ici... =)

La fiche est fait pour te torturer toi personellement en effet !

Merci. Vraiment.


EDIT : Non, tout le monde ne peut pas y entrer. Nous n'avons pas déterminer d'âge, cependant, tu te doutes bien que X. aura fait subir énormément de tests de fidélités, psychologiques, etc... avant ton entrée dans l'Elite afin d'éliminer un maximum les risques d'infiltrés (=
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Presle H. Cowden


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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 23:03

    Vraiment ?
    Je ne m'attendais pas à un tel accueil, ça me fait plaisir HUHU .

    Hmm. Je me disais aussi que c'était pour moi ! XD
    Merci à toi, miss = )

    Oui, j'imagine bien qu'il contrôle tout cela d'une poigne de fer.
    Je posais simplement la question; histoire de savoir s'il fallait être américain, surtout; étant donné que Presle aura des origines étrangères ^^
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Désiré Noah Walsh

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 23:07

Oh, quel bonheur ! Plus on est de fous, plus on rit ! (Hihihi... Haem...)

Enfin bref, tout cela pour dire, contente de te voir parmi nous, et surtout Bienvenue ! Wink
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Presle H. Cowden


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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyDim 18 Jan - 23:49

    Ce forum casse toutes mes habitudes. X'D
    D'ordinaire, je finis par le caractère. J'ai fait tout l'inverse ! Razz

    Merci bien, Désiré =)
    EDIT - Oh, ta citation <3
    C'est mon livre préféré, Julius Caesar (a)
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December E. Swan

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 0:40

Bon, tu m'énèrve Chris !
Tu me suis exactement partout =o .

Je plaisante, évidemment <3 .
Tu sais que je suis toujours heureuse de te voir !

Haan, tu va en plus de cela, connaître December, mon personnage inventé préféré Smile .
J'espère que nous aurons un lien, puisque bon. Entre Kstew et Rpattz, c'est obligé !

Bisouus et bonne chance (L) .
Pourquoi pas, amis d'enfance ? *ouut.
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Désiré Noah Walsh

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 1:17

Chris : De toute façon, je ne connais rien de Shakespeare qui ne soit pas excellent... Mais de peux me tromper Razz
Mais de rien, tout le plaisir est pour moi.

Chlo' : Hihi, et puis après, December va larguer Désiré pour Presle, ça va être fuuuuun ! Very Happy
(Avant que tu dises quoi que ce soit, non, ça ne m'embête pas que vos persos aient un lien, et dans tous les cas, ça mettra un peu de piment s'il y a de la jalousie dans leur relation - J'adore les histoires complexes, oui)
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December E. Swan

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 1:22

Agnès, tu es folle. Même si j'avoue que le lien Rpattz && Kstew est inévitable, il n'y aura pas d'histoire d'amour entre les deux personnages sur ce forum Smile .

J'ai trop pleuré pour Désiré, ingrate =o. XDD .
Quoi qu'il en soit, tu es dans l'obligation d'accepter ma demande, Chris =P ; *ouut .
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Patience E. Delaney

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 18:38

Je tiens à préciser que j'exige un lien également:huhu:. Ceci dit, une lien haineux me plairait plus ! Quitte à le faire évoluer par la suite:huhu:
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Presle H. Cowden


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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 19:28

    mais contre une histoire d'amour - rassuré, Désiré ? XDD. Presle est trop méchant pour la petite December hin


Cela dit, je pensais également au début que Désiré était trop drogué/dépravé pour la petite December lovely

Par contre j'ai hâte de voir les différents liens que tu vas tisser, et les sujets qui iront avec Razz

EDIT Désiré - Putain j'suis trop à la masse, au lieu de citer j'ai édité -_-' Tu peux recorriger, je suis vraiment bonne à rien en ce moment... Encore désolée.
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Autumn d'Orsay


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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 19:58

    je viens de lire le caractère (l) j'adore <3
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Presle H. Cowden


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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 20:05

    Tu es pardonnée, Désiré ! XDD Tu m'as bien fait rire, en plus de ça.
    Et je ne disais rien d'important; j'ai simplement accepté d'avoir un lien avec Chloé et Margot, et je pense qu'elles étaient déjà au courant que je ne pouvais rien leur refuser Razz

    Merci beaucoup, Autumn = )
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Patience E. Delaney

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 20:11

CHRIIIS; tu m'expliques comment tu peux être bonne à rien, uh ? :p

On en discute sur msn alors x)
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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 20:19

    Oui, je suis BONNE à rien, et désoléE X''D
    En fait, c'est Désiré qui parle. Elle s'est trompée et, au lieu de me citer, a édité mon message.

    Tu as peut-être des doutes à mon sujet, mais, moi, je suis catégorique: je suis un homme, Margot. Tu entends ? Razz

    Sur MSN ? Avec plaisir, mais je n'ai toujours pas reçu l'invitation à t'accepter dans mes contacts. Je t'ai ajouté, par conséquent. Hier soir, si je me souviens bien...
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Patience E. Delaney

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 20:27

HAHA; bouchonne t'es pas douée hein xDD

Oh ! Ce n'était pas toi l'autre jour avec une jupe alors ? :p Zut ! xD

Hum. Quelle idée j'ai eu de partir sur MAC --' Je te parie que c'est mon logiciel qui déconne... J'ai rien reçu non plus. J'essaie de te rentrer. Sinon, je piquerai le PC de ma mère ce soir (=
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Désiré Noah Walsh

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 21:23

On ne critique pas les Mac, Go' :0 Personnellement Windows Messenger marche sur le mien.

Chris : Je te jure, j'ai dormi une heure là, je dormais sur place en fait. Je fais de grosses conneries quand je suis crevée. Y a ça et le fait que je ne sois pas habituée à être admin sur les forums FA. Sur le coup t'aurais ri en voyant ma tête, j'ai regardé l'avatar et j'ai fait : "Meeeerde c'est pas le mien... MEEEEERDE je fais que des conneries, mais quelle conne, putain je suis naze, achevez-moi je suis trop conne". Bref. Smile
Et moi je te crois quand tu dis être un homme Very Happy
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Presle H. Cowden


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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 21:36

    Avec la jupe ? Si, si, c'était bien moi Razz
    Je pense plutôt que s'étant certainement bloqués mutuellement... Je ne sais pas, je vais essayer de trafiquer ma liste de contacts XDD

    Désiré - C'est bien Agnès, ton prénom ? Ce serait certainement mieux si je t'appelais par ton vrai prénom =) Ce n'est rien, t'inquiète pas. J'ai eu du mal à me faire aux forums actifs, moi aussi. Et puis, je n'ai pas dormi du week-end; vous n'êtes pas à l'abri d'une catastrophe Laughing
    Merci pour ton soutien. Je me sens soulagé, du coup. XD
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Patience E. Delaney

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 22:00

Je sais; Agnès ! Il parait que c'est ma connection... je ne cherche aps à comprendre. je préfère l'interface de MAC (l).

J'ai prévu d'essayer le logiciel vidéo bientôt ! Cela dit; on flood la présentation d'mon basketteur préféré !

Je ne t'ai jamais bloqué; personnellement. Au pire; on MPisera; c'est nul pour se parler mais bon =./

Ton style d'écriture m'épate !
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Désiré Noah Walsh

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyLun 19 Jan - 22:05

Chris : Oui, c'est bien Agnes Smile (Tu retiendras, Agnes la boulette, y en a pas 40)
Sérieusement, t'as pas dormi depuis hier et ta sieste avortée ? Tu dois être dans un bel état... Razz

En tous les cas, je te souhaite de nouveau la bienvenue. (oui, ce message ne sert qu'à me donner bonne conscience, à faire croire que nous ne venons pas de flooder à mort dans ta présentation...)
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December E. Swan

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MessageSujet: Re: « COWDEN; Hareton, Presle   « COWDEN;  Hareton, Presle EmptyMar 20 Jan - 18:43

AYAAA ; vous floodez Surprised .
XDD.

Donc Chris, on parlera de nos liens dans la semaine Very Happy
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