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 Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]

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Jasper Staylen


Jasper Staylen

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MessageSujet: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyMar 20 Jan - 22:46

JASPER EDWARD STAYLEN

Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 21969510

Survolez pour voir la traduction.

" Fire and Ice
Le feu & la glace
Some say the world will end in fire,
Certaines personnes disent que le monde brulera
Some say in ice.
D'autres disent que le monde gèlera
From what I've tasted of desire
Sur ce que j'ai gouté du désir
I hold with those who favor fire.
Je suis avec les gens qui sont pour le feu
But if it had to perish twice,
Mais si je devais périr deux fois
I think I know enough of hate
Je pense connaitre assez sur la haine
To say that for destruction ice
Pour dire que la destruction avec la glace
Is also great
Est bien aussi
And would suffice.
& que ça suffirait "

- Robert Frost.




Dernière édition par Jasper Staylen le Sam 24 Jan - 2:30, édité 22 fois
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyMar 20 Jan - 23:00

    ••• «Imagination governe the world. » Napoléon ▬


Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 60361912nm7



Bonjour. Je suis John Amilton. Si vous le voulez bien, nous allons commencer. Présentez vous s’il vous plait.

Je m'appelle Jasper Staylen, j'ai vingt-deux ans je suis né le cinq juillet mille-neuf-cent-quatre-vingt-six, je suis un londonien exilé à New-York depuis mon plus jeune âge. Depuis que Monsieur X avait triomphé de notre Liberté, depuis qu’il avait réussit à vaincre ce dernier, j'avais la sensation que mon monde s’était effondré. Je me sentais coupable de ne pas avoir aider ma liberté, coupable d’avoir rien fait le combat final où Monsieur X était sensé mourir, coupable de ne pas avoir deviné le plan de Monsieur X pour détruire New-York. Peu importait que je soit libre et non en prison comme les autres, peu importait qu'un ami ne m’ait pas dénoncé, peu importait tout cela… ijétais seul. Ma vile ma manquais. Et j'ignorais comment continuer sans elle… dans le clan adverse… dans le clan de ceux qui avait tué New-York, le seul qui l’ai véritablement aimé au point de lui confier ma vie.

Alors ? J'ai rejoins les rangs des révolutionnaire et tuer les coupables. Je sait qu’il ne faut pas agir sur un coup de tête. Si ma ville a disparu sans laisser de trace, ne vous ai-je pas confié mes projets ? Un monde dénué d’injustice, un monde où il jugerait de la vie et de la mort de chacun.

Au faite, je pèse 70 kilos, et je mesure un mètre quatre-vingt mes yeux sont bleus mais ils peuvent changer de couleur selon la lumière dont je dispose;mais je ne trouve pas que ce soit la plus important.





Dernière édition par Jasper Staylen le Ven 23 Jan - 16:01, édité 32 fois
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyMar 20 Jan - 23:08

••• « My feelings are more important than yours. » ▬

Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 53747688kd1

Enchanté, Jasper. Si vous le voulez bien, j’aimerai retracer votre passé jusque la mise en place de la dictature, et plus précisément ce mois de janvier 2009, qui marqua un tournant dans cette dictature.

L'histoire détermine une personne, la mienne a fait de moi ce que je suis. Je suis à peu près sur que si les choses s'était passé autrement, je n'aurais pas eu le même discours aujourd'hui. Voici mon histoire.

Chapitre 1 : I need your help

- « Poussez, je vous en prie, poussez du mieux que vous pouvez.»

Ca n’était pas un manque de volonté, bien au contraire, Undone aurait tout donner pour que son fils naisse en bonne santé après ce qu’elle lui avait fait subir. Il n’était même pas né qu’il avait déjà une mauvaise mère. Alors qu’il grandissait en elle avait déjà eu des regrets, non pas d’avoir un enfant, car c’est la plus belle chose qu’elle était parvenue à faire, mais d’avoir fait un enfant dans ces conditions, de lui avoir avant même qu’il soit né retirer la moindre chance de vivre assez longtemps pour la détester de lui avoir fait ça.

S’accrochant au bras de cet homme inconnu qui lui avait ouvert sa porte sans même la connaître, juste par bonté, elle poussa de toute ses forces mais malheureusement il ne lui en restait que très peu. A cause du froid, à cause des larmes qu’elle avait versé mais aussi parce qu’elle n’avait pas mangé depuis un sacré bout de temps, elle n’avait même plus la force de mettre au monde ce bébé qu’elle espérait tant. Il était le miracle, c’était grâce à lui qu’elle avait eu la force de partir, c’était grâce à lui qu’elle avait eut la force de vaincre le froid, mais elle, que lui offrait-elle en échange ? Rien absolument rien. Si ce n’est une destinée déjà bafouée par la violence dans laquelle il a été conçu.

- « Je crois qu’il va venir, je sens quelque chose, mais il faut que vous donniez encore un peu de vous, poussez s’il vous plait, poussez pour votre fils. »

Elle hurla. A quel force, à quelle amplitude, elle n’en avait aucune idée. Le cri lui offrit la possibilité d’utiliser les dernières forces qui lui restait. Le bébé jaillit d’elle, et poussa son premier cri. L’homme le prit dans ses bras. L’enfant si fragile, minuscule, agitait ses bras, fixait l’homme grâce à qui il était là avec ses immenses yeux bleus. Undone ferma les yeux et déposa sa tête sur le coussin qui lui parût très confortable. Son enfant était né. Elle n’y avait plus cru. Pas après ce qui s’était passé, pas après ce qu’elle lui avait fait endurer. Son enfant s’était montrer tellement fort… tellement fort. Sans lui, elle n’aurait jamais pu y arriver.

Sans lui elle serait resté avec cet homme violent, sans lui elle serait probablement morte sous les coups qu’il lui donnait presque chaque nuit, presque chaque jour. Undone aimait pourtant cet homme. Lorsqu’elle l’avait rencontré pour la première fois, elle était devenue totalement folle de lui, de son corps, de ses magnifiques yeux de loup, d’un bleu pâle qui la laissait rêveuse. Ca n’était qu’après qu’il avait dévoilé son vrai visage. Jamais elle n’aurait cru pouvoir le quitter. Mais elle était tombé enceinte. Ca ne lui avait pas tellement plu. Il était très spécial comme homme. Elle ne le comprenait plus et pourtant elle l’aimait encore.

Hier soir, il l’a frappé une fois de trop. Sur le moment, elle cru qu’elle avait perdu son bébé. La dispute avait été tellement violente, il n’avait pas retenu ses coups. Le bébé ne donnait plus de coup, elle ne le sentait plus. A ce moment là elle s’est effondré en larme croyant qu’elle avait perdu l’unique être qu’elle aimerait de sa vie de toute ses force, comme si sa vie en dépendait. Et puis, il s’était agité. A quoi avait-elle pensé exactement ? Elle ne s’en souvenait plus. Simplement, elle avait pris ses affaires et était partie. En fait, il avait quand même essayé de la retenir. Celui qu’elle avait tant aimé, déchira son sac de rage, lui interdisant de partir. Que lui avait-elle dit pour pouvoir partir ? Elle ne s’en souvenait pas non plus. Tout ce qu’elle savait c’est qu'elle s’était retrouvée perdue dans les rues de Londres sur le point d’accoucher… sans cet homme qui sait ce qu’elle serait devenue.

- « Tenez votre enfant. »

Lui dit-il en lui mettant l’enfant dans les bras. Undone sourit doucement. L’enfant ne pleurait pas, il l’observait, curieux, avec ses grands yeux. La jeune femme se mit à rire et à pleurer en même temps. Sans argent, elle ne savait absolument pas de quoi demain serait fait, elle ne savait pas si elle réussirait à survivre, mais elle savait qu’elle ferait désormais n’importe quoi pour que cet enfant vive. Elle lui attrapa le bout du doigt qu’il lui tendait, et avec un immense sourire sur son visage ravagé par le froid et les larmes elle l’appela :

- « Jasper Edward, mon fils, Jasper. »

Chapitre II : Qui es-tu, je ne te reconnais plus ?

- « Maman ? demanda le garçonnet, Tu vas bien ? »

La jeune femme chercha son fils du regard. Elle le trouva juste derrière elle, les yeux agrandis par la peur. Pas besoin de lire dans son regard pour savoir qu’elle avait fait peur à son fils, et pour cela, elle se détestait. Undone se pencha vers le garçonnet. Elle lui ébouriffa les cheveux. Le garçonnet cessa de la regarder avec cette peur dans les yeux mais il resta méfiant. Quelques minutes auparavant sa mère s’était mise à faire des choses très bizarre. Et puis il y avait eu les ustensiles de cuisines qui s’étaient mis à voler dans la pièce. Jasper n’aimait pas ça. Il n’aimait pas voir des choses anormales autour de sa maman, et encore moins l’idée qu’elle en soit l’origine. Il avait besoin de comprendre, depuis tout bébé il avait eu ce besoin, c’était sans cesse qu’il harcelait ses parents de questions.

- « Bien sûr que je vais bien. Je suis désolé si je t’ais fait peur. Maman était seulement en train de ranger la cuisine. »

Le petit garçon allait dire que faire voler les objets n’étaient pas exactement la signification du mot ranger, mais il ferma sa bouche et se contenta de lui sourire. A six ans il était assez grand pour comprendre que sa mère n’allait pas bien et que la questionner n’arrangerait pas les choses. Depuis qu’elle avait accouché de sa petite sœur, il voyait bien que ça n’allait pas. Son père n’arrêtait pas de lui demander de se reposer mais est-ce qu’elle l’écoutait ? Non, évidemment que non. Jasper ne comprenait pas ce qui arrivait à sa mère mais ça le rendait fou d’inquiétude à l’idée qu’elle puisse aller mal d’autant plus s’il ne savait pas ce qu’elle avait, qu’il ne savait pas quoi faire pour qu’elle aille mieux.

- « Aller Jasper, prend ta mère dans tes bras. »

Il ne se fit pas prier deux fois. Enfouissant son petit visage possédant déjà des traits fins comme son père, il respira à plein poumon la merveilleuse odeur de sa mère. Undone caressa la tête brune de son fils affectueusement. Elle avait eu de la chance de l’avoir, elle avait eu de la chance que cet inconnu qui l’avait recueillit cette fameuse nuit la demande en mariage. Oh bien sûr au début, elle avait eut peur. ça n’était pas son fils qui était né, pourquoi voulait-il épouser une inconnue ? Undone n’était pas sotte, elle avait réaliser que s’il voulait l’épouser c’était parce qu’il l’aimait. Mais elle avait eu par la suite des craintes, qu’il la quitte, qu’il devienne violent, peur ridicule, mais elle se sentit obligée de lui faire un enfant, un enfant rien qu’à lui. Bien sûr il adorait Jasper et le considérait comme son fils, il ne cessait de dire que peu importe son véritable père, c’était lui qui l’avait mis au monde, mais guidé par sa peur elle avait fait une petite sœur à Jasper.

Repoussant un peu son fils, prenant ses mains dans les siennes, elle lui sourit. Jasper était incroyablement intelligent pour son âge. Il avait de ces regards qui en disait long, et puis il disait parfois des choses tellement adultes et mature qu’il ne cessait de l’étonner. Elle l’appelait son petit homme affectueusement. Mais elle craignait qu’il ne vieillisse trop vite. Sans qu’elle le sache, Jasper lisait déjà beaucoup, sans qu’elle soit au courant, il faisait de drôle d’expériences.



Chapitre 3 : Je n’ai plus assez de larmes en moi pour continuer ainsi.

- « Je suis désolé… »

Trois mots. Trois mots seulement. Mais dans la bouche de cet homme que Jasper pensait être son véritable père, dans la bouche de cet homme qui l’avait élevé avec tellement d’amour, ces trois mots étaient insupportables. Le jeune garçon hurla, il hurla de rage et de colère. Son père essaya de le prendre dans ses bras, mais Jasper le repoussa. Non il ne pouvait pas l’accepter, il ne pouvait pas pleurer dans les bras de son père, la mort de sa mère était tout simplement impossible. Impossible ! La rage s’empara de son cœur et le brisa en deux. Le jeune garçon se tourna vers le mur et enfonça son poing dedans. Le contreplaqué s’enfonça sous la force du jeune garçon.

Une heure plus tard, Jasper regardait son bras bandés. Oui il avait été idiot de frapper le mur. Mais c’était ça ou il frappait quelqu’un. La mort de sa mère n’avait pas été brutale. Ils s’en doutaient tous. Même la petite Undie, sa petite sœur de cinq ans s’en doutait. Cela fait des années que sa mère n’était plus elle-même. L’arrivée de Undie avait provoqué les symptômes mais c’était enfouis là depuis plus longtemps. Jasper ne savait pas pourquoi sa mère devenait un peu plus folle chaque jour, ni pourquoi elle faisait de telle crise nerveuse, il n’en avait aucune idée, mais il savait une chose, sa mère n’était pas folle. Il y avait quelque chose qui la rongeait. Son père avait accepté la réponse des médecins, mais pas lui.

Montant dans sa chambre, Jasper s’enferma. Il avait besoin d’être seul. Il avait dix ans, et savait ce que signifiait la mort de sa mère. Pire, il savait qu’il n’avait rien fait pour l’en empêcher. Il savait qu’elle n’allait pas bien, mais ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Son besoin de tout comprendre, que tout soit absolument clair se heurtait à l’état de sa mère qui n’avait absolument aucune raison apparente. Mais il y en avait une, seulement elle échappait au jeune garçon. La colère le traversait, le refus obscurcissait son jugement, et il posa son regard sur son bureau pour se calmer.




Dernière édition par Jasper Staylen le Sam 24 Jan - 1:54, édité 32 fois
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyMar 20 Jan - 23:08

••• « He's got a criminal mind » ▬



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Chapitre 4 : Who I am, I don’t know…

Tremblant, Jasper ne bougea pas d’un pouce, l'arme pointé devant cet homme à l’aspect sale et avec une odeur répugnante sur lui. Il lui avait tiré dessus pour le faire parler. L’homme avait finit par ouvrir sa bouche, et un filet de sang avait coulé le long de son menton. Le visage de Jasper n’avait plus grand chose d’humain, chaque muscle était tendu, et ses veines bleutés ressortaient alors que sa peau tendue prenait une teinte blanchâtre de cadavre déjà refroidit. La haine jaillissait de ses yeux exorbités dont les nerfs avait éclatés laissant des éclats de sang dans le blanc de ses globes oculaires.

- « Tu veux tout savoir, gamin, tu en es certain ? »

L’homme avait du mal à parler à cause de la douleur, il avait la mâchoire qui semblait vouloir lui désobéir, et ses yeux qui tressautaient. Si Jasper avait envie d’entendre cette vérité qui lui avait été caché durant toute ces années ? Oui, et non. Cet homme le répugnait au plus haut point. Mais il ne pouvait pas continuer dans le mensonge. Même si la vérité le détruirait, il en avait besoin. De toute façon, le mensonge l’avait déjà en partie détruit. A cause du mensonge, il avait détesté sa mère pour de mauvaises raisons et il s’était détesté pour cela. A cause des mensonges, il avait été trop loin dans la Révolution pour en revenir. Peut-être que ça n’était pas seulement à cause des mensonges. Lorsqu’il était entré au lycée, il avait tellement besoin d’oublier la mort douloureuse de sa mère, il s’était laissé embarqué par les révolutionnaires. Ils étaient tous tellement en adoration devant la Liberté. Et Jasper avait montré qu’il n’était pas un idiot, il s’était renseigné.

Que ce soit sa curiosité ou l’influence des autres, Jasper avait découvert l'opposition un peu par hasard et aussi un peu parce que c’était la seule chose qu’il pouvait convoité, puis qu’il avait la connaissance de tout le reste. Il avait tout lu sur la Révolution clandestinement lu tout ce qu’il avait trouvé à la bibliothèque clandestine. Il avait pris goût à la révolution parce que sa nourrissait sa curiosité, parce que ça demandait un niveau d’excellence, mais aussi parce que ça lui permettait de concrétiser son rêve d’un monde sans injustice, un monde sans meurtre, sans voleur, sans cruauté,
sans qu’il y ait des gens qui meurt dans un asile sans raison apparente, une vie sans le mal. A quel point était-il perturbé qu’il pourrait obtenir cela en faisant le mal ?

- « Tu veux savoir si je veux cette vérité ?
demanda Jasper les yeux injectés de sang, un filet de bave glissant le long de la commissure de ses lèvres, Tu me le demandes ? Je pourrais te tuer pour cette insolence ! »

L’homme regarda ce jeune homme de quatorze ans qui brandissait son arme avec tellement de rage dans les yeux et il ne pu supporter plus longtemps cette vision. Quelque chose qu’il avait fait par le passé l’avait amené ici. Qui qu’il ait pu dire ou faire dans le passé, il ne voulait pas mourir, pas de la main d’un garçon de quatorze ans, pas comme ça. Alors, il dévoila la vérité qui avait été masquée avec soin par une mère protégeant son enfant.

- « Tu as vu juste. Ta mère a eut un enfant avec moi, et cet enfant se tient devant moi, en me menaçant pour que je lui dise que sa mère lui a mentit pour son bien. »


Jasper cracha au visage de cet homme. La violence, la colère qu’il avait contenu toutes ces années, qu’il avait enfouis au fond de lui resurgissait et l’assaillait de toute part. Le jeune homme détestait perdre le contrôle, surtout dans une situation comme celle-ci, mais c’était plus fort que lui. La rage était plus forte que sa volonté. Il savait qu’il devait se ressaisir, mais il n’en avait aucune envie. La seule chose qu’il désirait c’était une balle frappant cet homme, c’était voir son corps tombé comme une masse à ses pieds, mais ça serait encore trop doux comme mort.

- « Ne parle pas de ma mère, je ne veux pas que tu parles d’elle, pas avec ta bouche mensongère, pas avec ces mots, pas avec ce ton. Je devrais te tuer. Oui, je devrais le faire. Mais ça serait… idiot n’est-ce pas ? »


Un sourire franchit ses lèvres. En quelques secondes le jeune homme devant la victime mise à la torture se transforma. Ce monstre de haine disparu sous les traits d’un beau jeune homme. Tout le portrait de cet homme répugnant lorsqu’il était jeune. Avec ces traits fins, ces yeux d’un bleus très clair, et cette bouche moqueuse, c’était exactement le visage de l’homme qui avait séduit sa mère. Jasper ne s’en rendait pas bien compte, tout ce qu’il savait c’est que l’homme ne l’aurait pas aussi facilement. Il n’allait pas le tuer, oh non, ça serait trop facile.

- « Je… suis… désolé. Tout ce que je voulais dire… c’est… »

Il était parfaitement conscient du fait, malgré la douleur, qu’au moindre faux pas, au moindre mot désobligeant un e autre balle douloureuse
e frapperait. Devant cette soudaine métamorphose, il avait compris que l’homme à qui il avait affaire n’allait pas le tuer. Qu’il saurait se reprendre en main pour faire durer ça le plus longtemps possible.

- « Ce que je voulais dire c’est que je suis un révolutionnaire, et qu’elle…elle l’était aussi. Tout comme toi. C’est peut-être ça qui… »

Jasper pointa son arme devant le visage de cet homme qui se révélait bien être son père, et il enfonça son pistolet tout doucement dans l’œil de l’homme, ce dernier gémit, mais il était réduit à l’immobilité par
es filets que lui avait attaché le jeune sorcier. Souriant, Jasper finit la phrase de sa victime, car il savait déjà ce qu’il allait dire.

- « C’est peut-être ça qui l’a tué. Oui, à présent tout cela m’apparaît très clairement. Elle n’a pas rien fait pour la révolution, et la Liberté a grandie en elle, et ça a finit par la tuer. »


Tout doucement il enfonça un peu plus son arme dans l’œil qui devint fort douloureux pour sa victime. Cette dernière se mit à gémir, mais il savait que ça ne servirait à rien, il n’allait pas attiré la pitié de son bourreau ainsi. D’ailleurs il doutait qu’il existe un moyen d’attirer sa pitié. Cet enfant que la femme qu’il avait battu tant de fois était un véritable monstre sans cœur. Et il était bien placé pour savoir que rien ne l’apaisera surtout pas ses paroles à lui.

- « Cependant, il est important que tu comprennes une chose, si la Liberté l’a tué, ça ne t’enlève pas ta part de responsabilité. Tu l’as battu tant de fois, tu en fais une créature fragile. Sans toi, elle serait encore en vie. »


Jasper réalisait à présent que sa mère avait couché avec cet homme, qu’il l’avait battu, mais qu’elle n’avait rien dit jusqu’à ce qu’elle tombe enceinte. Ça n’était plus l’heure des reproches envers la défunte, elle avait cru faire ce qu’il fallait. Elle n’était pas la coupable, non, le coupable était devant lui. Jasper avait commencé à se poser des question durant l’été dernier en rangeant les affaires de sa mère. Il était tombé sur un vieux cahier où sa mère avait collé des photos, et elle avait fait des commentaires en dessous. Il avait ainsi compris que son père n’était que son père adoptif.

La suite avait été fort simple. En piratant le système informatique de Londres, il avait retrouvé son certificat de naissance, puis des informations sur sa mère ou plutôt le manque d’information. Il avait regroupé, fait des visites a, la mairie prospecter pas mal de quartier de Londres. Et il avait finit par trouver la trace de sa mère. Ensuite il était tombé sur son véritable père. Quelque soit l'homme qu’il rencontrait, tous lui disaient la même chose, sa mère était une femme battue qui a disparu du jour au lendemain, enceinte jusqu’aux yeux. Elle était partie pour lui. Jasper sourit tristement.



Chapitre 5 : I follow my destiny in the Darkness

Jasper laissa tomber son arme. Ses yeux étaient secs pourtant il avait cruellement envie de pleurer. Sans qu’il sache pourquoi, sa veste lui semblait tout d’un coup trop lourde, sur ses épaules. Les mouvements de sa main gauche avait cessé d’être logique, c’était des tremblements discontinus. Le jeune homme contemplait ce qu’il avait fait avec tristesse et en même temps le sentiment de s’être planté sur toute la ligne. Qu’avait-il cru ? Qu’il réussirait à créer ce monde sans la moindre injustice en tuant ceux qui l’aimaient ? Il ne pouvait pas supporter leur vue.

Reposant sur le sol comme si elle était endormie, sa jeune sœur avait le visage tourné vers lui. Ses joues étaient encore roses et il savait que s’il la touchait il sentirait encore sa chaleur contre sa peau glaciale. Vêtue d’une robe blanche, elle avait l’air d’une Ophélie. Qu’avait-il fait ? Sa sœur n’avait rien demandé. Elle était révolutionnaire elle aussi, elle était allé au lycée, et elle l’avait aimé avec soin. Ça n’est pas parce qu’elle était allé au lycée, pas parce qu’elle ressemblait comme deux gouttes d’eau à sa mère, mais qu’elle ne connaîtrait jamais sa triste destinée qu’elle méritait de mourir. Avait-ce été le fait que leur père accepte complètement le fait que sa fille soit une révolutionnaire, alors qu’il ne l’avait jamais digéré pour Jasper et qu’il avait refusé d’entendre les explications de ce dernier sur la mort de leur mère qui l’avait poussé à cet acte de barbarie ?

A l’entrée de la cuisine, le corps de son père avait glissé lentement contre le mur où la balle de son magnum l’avait poussé violemment. Jasper ne s’était pas approché. En fait, il n’avait pas bougé. Seule son arme avait bougée comme si elle était dotée de vie. Le jeune homme ne savait pas exactement pourquoi il avait fait ça. Ou plutôt si, mais il ne voulait plus de cette raison, il ne pouvait pas l’accepter. Il avait tué sa sœur d’abord puis son père. Ce dernier n’avait même pas hurler, sa bouche s’était ouverte mais aucun son n’en était sortit. Jasper ne lui avait même pas laisser le temps de crier. La balle l’avait frappé de plein fouet. Et c’est stoïque que le jeune homme l’avait regarder glisser contre le mur, mort.

Pourquoi avait-il fait cela ? Sûrement pas par jalousie envers sa sœur. Il l’adorait et lui passait tout ses caprices. De elle, il acceptait tout. Alors quoi ? Son père n’avait pas bien réagit lorsqu’il avait appris qu’il était un révolutionnaire, mais il n’avait pas fait de reproche à Jasper, il savait que ça n’était pas de sa faute. Peut-être en avait-il voulu à sa femme de ne rien lui avoir dit, et d’être morte en laissant ce secret creuser un fossé entre lui et son fils. Jasper était venu ici dans l’intention de ne laisser aucun survivant. Il les avait tué parce qu’ils n’était plus utiles, parce qu’ils étaient des fardeaux, parce qu’il savait que s’ils étaient encore vivants, il ne pourrait pas faire ce qu’il avait à faire, qu’il n’aurait jamais la force d’exterminé tous les mécréants, tous les criminels et tous les hommes profanant la justice.

Depuis qu’il était entré au lycée, il avait déjà tué maintes fois. Lorsqu’il avait tué son père biologique, ça n’était pas la première fois qu’il tuait. Mais à chaque fois qu’il tuait, il savait qu’il perdait une partie de lui-même, il savait qu’il brisait son âme en deux, il savait que les regrets et les déceptions s’accumuleraient. Tout simplement il n’y pensait plus. Ça n’était pas facile. Lutter contre soi-même. Mais il y parvenait tout de même. Les tuer, ces enfoirés de meurtrier, que ce soit des coopératifs ou des membres de l'élite, ça n’avait pas la moindre importance, non, pas la moindre. Et idiot qu’il était il s’était imaginé que parce qu’il avait déjà tué, ça serait plus facile de tuer son père et sa sœur… idiot qu’il était.






Dernière édition par Jasper Staylen le Jeu 22 Jan - 19:31, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyJeu 22 Jan - 13:23

••• « Are you afraid ? » ▬

Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 74904380at6


Chapitre 6 : Sois mon bras,sois mon cerveau


Sans lui, Jasper ne serait probablement qu’un fantôme, qu’une coquille vide, sans lui, l'homme ne sait pas où il serait mais il n’aurait jamais continuer la révolution c’est certain, il ne serait jamais devenu aussi puissant. Que disait-on déjà de lui au lycée ? Ah oui, c’était un excellent élève, qui manipulait ses connaissance avec soin, prudence et surtout intelligence. Ce n’était que des imbéciles. Jamais au lycée il n’aurait pu devenir aussi puissant. Jamais avec une éducation tourné vers le bien, vers le contrôle des pouvoirs et non l’expérimentation il n’aurait pu atteindre un tel niveau. Et ça n’était certainement pas les professeurs de son lycée qui serait venu le trouver dans sa cellule en prison pour le sauver d’une mort certaine, non de son corps, mais de son âme, quel que soit ce qu’il en restait.

Après le crime dont il avait été accusé, celui de son père et de sa sœur évidemment, on l’avait enfermé en prison. Personne n’avait compris comment Jasper, cet homme si calme, si paisible et un peu renfermé avait pu en arriver là. On mit ça sur le compte des antécédents de sa mère, sur sa folie, qui l’avait tuée. Évidement, ébranlé par ce qu’il avait fait, Jasper avait été incapable de s’enfuir pour échapper à ce qu’il savait qui l’attendait. La prison aurait pu le tuer. Ça l’aurait tuer s’il n’avait posséder un tel caractère, une telle intelligence, mais aussi parce que là-bas il a trouvé un supérieur, un homme qui le comprenait, et qui lui donna un sens à sa vie. Ça n’était plus question de ce rêve ridicule de dominer le monde tel un dieu, jugeant les impurs et les innocents, décidant de la vie et de la mort de chacun, mais finalement ça n’en était pas si éloigné.

Jamais il ne prononçait son nom. Et quelque par, Il aimait que Jasper ne l’appelle pas, parce qu’il savait que dans son silence c’était plein de respect. Le jeune homme aimait son supérieur. Il était devenu un maître à penser, un père spirituel, et plus encore il lui avait offert sa confiance. Or Jasper savait que son supérieur faisait confiance à très peu de personne et que même lorsqu’il l’accordait à une personne, il avait toujours une sorte de restriction, comme s’il gardait toujours une distance, le protégeant de toute trahison. Pour lui, d’ailleurs la trahison d’un révolutionnaire était plus amusante qu’autre chose, une raison de torturer quelqu’un lui étant totalement dévoué.

Plus il observait son supérieur, plus cet amour était présent, plus il était pesant. Silencieux, il observait Jasper. Ce dernier se souvenait de sa visiteen prison. Il n’avait alors pas attendu que Jasper ait passé un mois en prison pour lui rendre visite. Il savait qu’il fallait être rapide. Comment avait-il fait pour tromper la vigilance des policiers, cela il ne l’avait compris qu’après le départ de son supérieur en utilisant son cerveau évidemment. Son supérieur lui avait demandé de rejoindre ses rangs. Oh bien sûr ça n’avait pas été dit exactement comme cela. Il avait su utiliser les mots juste, pour que le cœur pourtant si fermé de Jasper s’ouvre à lui. Savait-il qu’il avait sauvé son nouveau révolutionnaire, savait-il qu’il lui avait offert ce que Jasper avait cessé d’espérer ?

- « Jasper, j’ai besoin de toi. Je sais, tu veux m’aider, tu veux être présent à mes côtés. Nul besoin de me le dire, je connais ta fidélité, et j’ai conscience du fait que tu aurais aimé combattre à mes côtés mais j’ai besoin de toi. »


Le jeune homme se doutait de ce qu’allait lui demander son supérieur. Depuis qu’il s’était évadé de prison, il n’avait jamais demandé à Jasper de combattre à ses côtés, en fait, il le lui avait interdit. Pourtant le jeune homme savait que son supérieur avait besoin d’aide. Monsieur X n’était surement pas seul, il y avait se partisans à ses côtés. Mais son supérieur avait insisté pour conserver Jasper dans l’ombre. D’ailleurs il avait fait envoyer un autre homme à sa place en prison pour qu’on l’y croit encore… comme s’il voulait que Jasper soit invisible à ses côtés.


A partir de ce moment, Jasper deviendrait un combattant pour le bien sous les ordres de son supérieur. Il fallut faire libérer Jasper de prison en toute innocence. Alors il y eut l’évasion massive. Une amie se chargea elle-même du travail. Elle avait fait croire à tout le monde que personne ne pense qu’il soit avec eux et le laissa pour mort. Et puis son supérieur mit son plan en place, avec Jasper. Et le piège se referma. Quelques mois après que le New-York soit pris par X,Il devint même le meilleure révolutionnaire.



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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyJeu 22 Jan - 13:23

••• « Time to Pretend. » ▬

Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 30928732gd3




Bien.Maintenant que je vous connais mieux, j’aimerai connaître votre position à cette époque quant au régime. Avait-t-elle évoluée depuis la création du régime ?

Je voue une haine contre X, comme s'il s'était attaqué à moi personnellement. Je continue le combat de ma mère, qui avait arrêté de se battre pour sa famille. Je n'ai plus de famille désormais,donc je lutte pour la Liberté, il est dangereux de laisser les pleins pouvoirs dans les mains d'un seul homme, c'est le cas maintenant, je refuse que X contrôle ma vie, mes pensées, je ne suis pas une marionnette. Je veux voir la mort des Coopératif et de l'élite, & je veux que ce soit moi qui leur procure la mort, pour mon plaisirs personnel.


Dernière édition par Jasper Staylen le Sam 24 Jan - 2:29, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyJeu 22 Jan - 13:23


••• « Campaign of hate. » ▬


Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 34251549rp7


Pouvez-vous vous décrire physiquement afin que nos lecteurs puissent mieux vous imaginer ?



Je possède un visage d’ange, un visage possédant des traits encore très juvéniles pour mon âge. Ma beauté a quelque chose de fragile et à la fois de nostalgique, comme si j'avais déjà trop vécu, ou qu'il ne fallait pas que j'en vive plus. Mon regard se perdant dans le vague pourrait rendre n’importe qui totalement accro à moi, du moins, n’importe quelle fille. J'ai quelque chose dans mon regard, oh, ça n’est pas un jeu de séduction, un tour machiavélique que j'aurais inventé pour séduire, oh non. J'ai aussi quelque chose de fragile mais pas dans mes yeux. Dans mes yeux il y a de la dureté, du mépris, de la colère et de la haine, mais aussi comme si j'étais perdu au milieu du néant. Malgré mon âge on dirait bien souvent que je sort du lycée. Mes manières sont encore empreintes à des gestes de l’enfance, et mes mouvements d’humeur, lorsque j'en ai mais je parvient à les maîtrisés, ont tout d’une crise d’un enfant, mais avec les conséquences d’un homme adulte doté de "pouvoirs".
Je déteste être mal vêtu, tout comme je déteste la pauvreté, du moins être pauvre, les autres je m'en moque. Aussi vous ne me verrez jamais sans un costume italien ou un vêtement ultra chic décontracté.

Mon visage blafard et marmoréen sur lequel un fin sourire narquois s’était dessiné. Les cernes trahissait ma nuit blanche Le regard d’un azur profond où sentiments insaisissables étaient ainsi exprimés. La beauté n’était pas le mot par lequel on pouvait me qualifier au mieux. Je n’étais pas désagréable à regarder, mais n’avait rien qu’un apollon puisse envier. Non, j'avais ce truc infime dans le regard, cette étincelle, ses gestes précis, ma voix suave et séductrice qui jouaient en ma faveur. J'avais un certain charme, qui plaisait ou pas.Des lèvres rosées, image même de l’adolescence, par lesquelles des mots autant savoureux que douloureux pouvaient s’échapper. J'étais de grande taille, sans pour autant être imposant. Mon poids s’accordait avec le reste sans aucune rigueur pour la conserver ainsi. Mon costume ne le laissait voir, mais mon corps était meurtris de cicatrices et autres blessures diverses qui me rappelle des évènements tantôt dramatiques, tantôt insolites qui se sont déroulé dans ma vie déjà tant mouvementée.Je passait une main dans mes cheveux châtains foncés.Des mèches rebelles s’échappèrent, lui donnant un air « décoiffé mais pas trop ». L’apparence, c’était tout...je fascinais, plusieurs personne essayaient de copier mon style, moi je ne trouvais pas que j'en avais un, rien n'était calculé. Je sortais une cigarette mon onzième doigt comme j'aime le dire.

Je mesure un mètre quatre-vingts, taille qui sort de l'ordinaire pour les hommes.Mon nez est plutôt court et fin; la bouche bien dessinée, mais un peu grande pour mon visage. Elle peut prendre un pli fort méchant ou extrêmement généreux, en tout cas toujours sensuel. Cela dit, mes émotions et mes attitudes se reflètent dans mon expression tout entière. J'ai un visage constamment mobile. Ma peau excessivement blanche et réflective, qu'il faut poudrer pour son exposition à tous les objectifs, quels qu'ils soient.


Dernière édition par Jasper Staylen le Jeu 22 Jan - 19:36, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyJeu 22 Jan - 16:27

••• « I Was Broken. » ▬


Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 31004572il0

Comment définiriez-vous votre caractère ? A-t-il évolué à cause de ce régime ?



Méfiez-vous de cette beauté qui pourrait faire pleurer le diable, car je n’ai rien d’un ange. A proprement parler je suis plutôt un démon. Ma nature de révolutionnaire joue sans doute dans la balançoire, mais ne croyez pas que je n’ai pas choisit de faire ce que je fais chaque nuit, ne faites surtout par l’erreur de songer durant une seconde que je suis esclave de ma nature et que je lui obéis aveuglément. Non seulement j’ai parfaitement conscience du fait que je suis un révolutionnaire, mais je connais également très bien ma nature démoniaque, je sens ce monstre en moi et je le laisse sortir lorsque cela me plait, parce que vous savez quoi ? Je suis le meilleur révolutionnaire qui soit ? Oui, le meilleur. Cela va sans doute vous sembler vaniteux surtout dans la bouche d’un révolutionnaire dont la légende remonte à si peu d’année, mais comme on dit, la valeur ne se mesure pas aux nombres des années et j’en suis si je puis dire la preuve vivante. Dès les premières minutes de mon engagement j’ai su qui j’étais, j’ai su que le sang de ceux qui défendent X appellerait la mort et que je m’en réjouirais, comme je savait que je serait incapable de combattre ma nature, j’ai décidé d’être le meilleur "monstre" qui soit.

Mes "supérieurs" ne se sont pas trompés lorsqu’il m’ont choisit. Déjà jeune, j’étais insolent, véritablement insolent, au point de croire que j’allais dompter le monde, insolent et téméraire. D’une certaine manière je le suis resté. Mais je ne suis plus aussi imbécile que je pouvais l’être dans ma jeunesse. Je ne crois plus pouvoir dompter le monde, je ne crois plus pouvoir changer ceux qui m’entourent et encore moins moi-même. Une éternité n’y suffirais pas. Vous me croyez désabusé ? Cela n’est pas le cas. Je sais ce que je vaux, je sais ce que je peux faire et j’adore le faire. Chaque nuit je prouve au diable qu’il fait bien de m’attendre, chaque nuit je rend jaloux les étoiles dans le ciel, chaque nuit je brille comme un astre. Et le levé du soleil ne m’atteint pas. Insolent, orgueilleux, vaniteux, oui, je suis un peu de tout cela. Et c’est ce qui me rend réellement insupportable.

Je me dis sans supérieurs pour guider mes pas, mes pensées et mes actes et sur ce point je n’ai pas tord. homme solitaire, je n’aime guère qu’on se prenne au jeu du père avec moi, en fait je déteste qu’on me dise quoi faire et encore plus quoi penser. Esprit libre ? C’est un peu cela, mais pas seulement. Je n’aurais pu avoir de supérieurs, mes sires se sont éteint comme s’ils l’avaient deviné. Cependant, comme tout homme solitaire, je n’ai pas choisit ma solitude. Si je déteste avoir un supérieur, j’adore la compagnie, surtout des dames que j’ai choisit, mais plus particulièrement celle des hommes, allez savoir pourquoi mon âme peut se fendre en deux que pour les hommes et non pour les femmes alors que je les chevauche lorsque j’en ai le désire. La solitude est un poids pour un humain, car il faut bien qu’il conçoivent chaque nuit comme une série d’amusement, des plus sadiques, des plus sanglants, mais seul. Personne avec qui partager ses joies sadiques, personne avec qui jouer à ces jeux, personne contre qui se lover lorsque le soleil se lève. Pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi. Lorsque j’étais jeune j’avais un amour, et lorsque j’ai commencé mon engagement je n’étais pas alors un être solitaire. Cela étant dit, je ne supporterais pas la vie dans un clan. Ce que j’aime c’est avoir un compagnon, mais plus serait insupportable. Je ne suis pas vraiment sociable, et étant sincèrement insupportable avec les personnes que je ne chéri pas de tout mon cœur, cela est impossible.

Aux yeux de ces tendres agneaux que sont les partisans de X, je suis un véritable gentleman, qui se révèle bien souvent être l’ange de la mort venu les chercher dans son plus bel apparat. Je lis l’envie et le désire dans leur regard, je sens leur sentiments à fleur de peau, je sais à quel point mes paroles peuvent être une influence sur leur esprit fragile. J’aime les observer durant des heures, j’aime les regarder vivre, j’aime savoir ce qu’ils sont lorsque mon "épée" pénètrent leur poitrine, bien souvent je connais tout d’eux lorsque je les tue, ça n’est pas seulement ce qu’ils m’offrent avant de mourir, c’est tout ce dont je me suis nourrit avant de prendre leur vie, comme si j'avais pris leur souvenir. Tout savoir d’eux me permet de jouer si facilement avec eux, me permet de devenir quelqu’un d’important à leurs yeux. Et puis, je ne suis pas toujours un monstre sadique assoiffé de mort. Il m’arrive de ne pas tuer un partisans de X que j’aurais pourtant suivit durant des semaines, il m’arrive même de tomber fou amoureux d’uns des leurs, et dans ces cas là, il me faut la plus grande force de caractère pour ne pas le transformer sur le champs en révolutionnaire.

Farouche et téméraire, c’est ce que je peux paraître au premier abord. Il est vrai que je suis sans cesse en action, et que je ne m’accorde jamais tellement de temps pour la réflexion. Je suis bien incapable de me morfondre en attendant que les choses changent d’elles-mêmes. En fait, l’inaction a tendance à me rendre fou. J’ai besoin de prendre rapidement des décisions même les plus importantes comme si ma vie en dépendait. Mon impatience pourrait passer pour de l’ignorance ou un manque de réflexion, même si parfois c’est le cas, il s’avère pourtant que je réfléchis et même un peu trop à mon goût. Depuis que cet esprit démoniaque coule dans mon corps, il me semble que mon esprit est bien plus rapide, que réfléchir ne me prend qu’une seconde, et cela s’en ressent dans mes actions. Mon esprit aiguisé comme une lame de rasoir me permet d’être quelqu’un de fonceur, mais si je possède un si grand sang froid, et une aussi grande capacité à être téméraire coûte que coûte, c’est aussi parce que je suis un prince insolent, orgueilleux, qui s’imagine toujours que le monde va céder devant sa volonté.

Passant pour un ange aux yeux des coopératifs, pour un véritable démon aux yeux des autres révolutionnaire, c’est pourtant ni l’un ni l’autre qui pourrait me définir. Je suis quelqu’un qui n’aime guère le bonheur, ou du moins, c’est la sensation que j’ai, devenant de plus en plus forte aux bout de près de deux décennies d'existence. Je sais que le bonheur est un sentiment fragile qui lorsqu’il vous lâche devient une blessure ignoble et douloureuse en votre cœur. Pour avoir déjà aimé à en avoir mal, je le sais. J’ai cessé d’espérer que l’amour me délivre de mes souffrances, parce que je sais que je n’en souffrirais que plus. Alors, j’essaie d’oublier ce mot : ‘bonheur’ dans l’alcool,dans la drogue, dans tout ce qui peut me le faire oublier. Mes victimes en souffrent d’autant plus, car plus j’ai peur de souffrir, de ressentir à nouveau cette douleur, qui revient sans cesse, plus je suis ignoble, cruel, plus je suis ce monstre que j’ai tant désiré devenir au début de mon engagement. Finalement, il me semble que j’y suis parfaitement arrivé.

Comment me définir au mieux ? Même si je cherchais un seul mot, je n’y arriverai pas tant je suis un homme complexe. Présent, passé et futur sont emmêlés si étroitement qu’on a parfois du mal à s’y retrouver. Même quelqu’un qui est proche de moi ne peut jurer me connaître par cœur, tant le mien est embrumé.Un désir de vengeance absolue s’est enracinée en moi dès l’enfance. J'ai appris à détester ces militants de X. Depuis le commencement, la haine et le mépris que j'éprouve envers ces gens, et plus précisément envers mon paternel, n’a cessé de croître. Ma vie a pris un réel tournant à la mort de sa mère.Même si la plupart du temps j'affiche un air extrêmement détendu, calme et même carrément impassible, cela ne m'empêche pas de bouillonner de l’intérieur. Seulement, lorsque je déborde, tellement je suis énervé, cette rage doit sortir et, bien souvent, c’est à coup de poings que cela se règle…

Ma mère m'a inculqué les bonnes manières et un style très raffiné dès le début, également. Aussi je me montre toujours très poli et courtois envers les demoiselles, teinté toutefois d’une note d’indifférence en fonction de mon humeur ou de la situation. Ce qui en agace et parfois même, déstabilise beaucoup. Je suis quelqu’un d’incroyable buté et loyal.Une fois que je décide quelque chose, j'y vais à fond et ne relâche jamais avant d’être certain que ma tâche soit accomplie.Intransigeant et méticuleux, il est rare que je laisse des détails au hasard. Fin observateur et manipulateur, je suis doué pour savoir ce que les gens pense et l’art de la tromperie ne m'est pas étrangère. Je suis rusé comme un renard, fourbe comme un serpent. Je continue à entretenir le mystère autour de moi.

Vous ai-je déjà dit que j'étais méticuleux ? je ne suis pas vraiment du type à foncer tête baisser mais à réfléchir avant d’agir. Je pèse souvent le pour et le contre, essaie de détruire les arguments par la réflexion. Grâce à cette capacité à réfléchir au lieu d’agir dans le vide, je possède un grand sans froid, mais surtout une grande intelligence que j'ai développé et nourrit. Depuis que je suis enfant je passe mon temps dans les bibliothèques, c’est un lieu idéal pour mûrir une pensée, une idée. Ma manière de réfléchir, non pas en songeant seulement aux implication de mes actes à court terme, mais de tenir compte de chaque élément et d’être capable d’anticiper les actions des autres me permet d’être largement au-dessus des autres.

Et c’est ce que je ressent la plupart du temps. Depuis que je suis enfant j'ai la sensation que personne ne m'arrive à la cheville, sensation qui s’est renforcée lorsque j'ai su que j'étais un révolutionnaire. Je sait ce que je vaut, je sait que je suis plus intelligent que les autres, que je connaît assez de choses pour me sortir de n’importe quelle situation, mais pas seulement. Je n’use pas seulement mon intelligence. Sportif, j'ai une façon de penser très saine pour mon corps et pour mon esprit. Doué dans tout ce que j'entreprends, je pense que rien ne peut se refuser à moi, et que je suis capable de tout. Plusieurs choses contradictoires me qualifient, je suis le feu et la glace.


Dernière édition par Jasper Staylen le Jeu 22 Jan - 20:28, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyJeu 22 Jan - 16:27


••• « You will be the death of me. » ▬

Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 15715919wq6



Et quelles étaient les personnes avec qui vous aviez des liens particuliers durant cette période ?



Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 0010s

Tiffany O. Standford
Je connais Tiffany depuis que j'ai rejoins le mouvement révolutionnaire, elle est à l'opposé de mes idées extrémistes, elle pense que la liberté reviendra en douceur et je ne partage pas son avis pour moi il faut combattre le mal par le mal : X n'hésite pas à tuer, alors moi je n'hésite pas à le faire non plus. D'ailleurs en France, en 1789, c'est par la force que le peuple de Paris a renforcé le pouvoir du Roi, les règles n'ont pas changé. Mais, pourtant je l'apprécies c'est une personne censé, adorable, j'aime passer du temps avec elle, elle m'apaise.



Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 0001

Patience E. Delaney
A vrai dire je ne la connais personnellement, pour moi ce n'est qu'une vedette qui a su profiter de X pour avoir eu son ascension social, c'est sur sans X elle ne serais pas là tous les soirs à vanter ses mérites à la télévision. je trouve qu'elle sonne fausse, qu'elle cache en elle quelque chose de plus profond que personne ne sait. je ne suis pas dupe, j'ai donc décidé de la traquer jusqu'à ce que je sache la vérité. Bien sur elle ne se doute même pas que j'existe.




Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] T24


December E. Swan
December est une amie à moi, je l'aime beaucoup, mais ce qui m'énerve le plus chez elle, est qu'elle est neutre, comment peut-on être neutre ? Surtout qu'elle a un enfant, elle ne voudrait pas qu'il grandisse sous une dictature privé de liberté ? J'essaye de la cerner, mais en vain, elle est très têtue quand elle veut. Malgré nos idées différente, e l'apprécie, elle est doté d'une si grande maturité pour son jeune âge. Elle me fascine.





Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] T15


Presle H. Cowden

Mon ennemi juré. Mon rival. Je le connais car on a combattus ensemble, on s'étaient déjà battu, je m'en rappelle cela avait fini en bain de sang, il est le meilleure de l'élite, je suis le meilleur révolutionnaire, il m'énerve, le soir protégé par X me répugne, je ne le connais pas assez pour le juger, mais en tous cas, il est très rapide, confiant, intelligent,lorsqu'on se bat, on est toujours à égalité, je connais ses tactiques par coeur, il connait les miennes par coeur je me suis juré de le tuer, je tiens toujours mes promesses.


Dernière édition par Jasper Staylen le Sam 24 Jan - 2:12, édité 22 fois
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyJeu 22 Jan - 19:15


••• « Have I found you..or lost you ? » ▬

Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] 29267789kd4



Avez-vous d’autres précisions à apporter ?



Bien sur mon mode de vie a ravagé ma santé, mon corps a plusieurs traces de torture, de combats que j'ai mené, j'ai plusieurs cicatrice, mais pas sur mon visage qui exprime toujours l'innocence, la naïveté même. J'ai un problème du coeur, il arrive qu'il ne soit pas assez puissant, je suis malade, un effort trop considérable peut m'amener à un infartus mais je n'en ai que faire, je préférais mourir pour la Liberté que de rester vivant et voir tout ce qui m'est chère enlevé. Puis, j'aurais tellement aimé être journaliste, mais bien sur je suis trop engagé pour être neutre dans mes propos, je ne pourrais pas faire d'éloge sur X alors que je le méprisais, d'ailleurs j'avais commencer des études en journalisme que j'ai arrêté pour être révolutionnaire.


Dernière édition par Jasper Staylen le Sam 24 Jan - 2:01, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptyJeu 22 Jan - 19:28


••• Et maintenant, retournons à la réalité. ▬


Je m'appelle Antoine. J'ai 17 ans, né le 5 Juillet. Je suis "connu" sous divers pseudonymes tels que Dawson Wermiel, Witer Rootown, __In {My} Day, Benjamin Wardauer. Je pense passer tous les jours ici. J'étais sur Winggles en tant que James Chesterfield mais peu après le forum était mort donc. La personnalité est Robert Pattinson.
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptySam 24 Jan - 14:57

Tu as fini, ou tu souhaites faire encore quelques modifications ? Smile
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptySam 24 Jan - 15:48

J'ai terminé j'ai puisé toute mon inspiration la :gla:
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MessageSujet: Re: Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé]   Jasper Staylen is here right now, so are you afraid ?[Terminé] EmptySam 24 Jan - 15:56

Tu es validé Smile

Cependant; nous discutons encore pour l'avatar. On te fera signe dès qu'une décision est prise (=
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